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L'approche pédagogique

Mes salariés ne me suivent plus !

« Mes salariés ne comprennent pas mes choix et n’y adhérent pas» telle est l’une des phrases que j’ai entendue récemment de la part d’un dirigeant. »

Chez Move Z’y, cela attire immédiatement notre attention. On commence par où ?

Aujourd’hui, j’ai envie de vous proposer un plan d’actions pour répondre à la problématique de ce dirigeant.

  1. Creuser la problématique avec des questions ouvertes pour  :
  • Les salariés : où en êtes-vous de la compréhension des objectifs à court, moyen et long terme de l’entreprise ? Quelles sont vos motivations actuelles ?
  • Le dirigeant : est-ce une difficulté récente ? quels ont été les derniers changements mis en place ? quelle est la vision pour votre entreprise ? et comment faites-vous adhérer vos salariés à votre vision ?

Il s’agit d’un vrai travail d’introspection du dirigeant et de ses bonnes pratiques – en quelque sorte un passage obligé pour comprendre la situation.

  1. Une fois ce questionnement effectué, Move Z’y fait des recommandations avec des actions concrètes auprès du dirigeant. Dans notre cas de figure, voici les premières actions à effectuer :
  • Réunir la direction et les salariés pour échanger au travers d’exercices créatifs sur la vision de l’entreprise. L’objectif va être double : faire comprendre aux salariés les choix stratégiques de la direction en les intégrant et faire prendre conscience à la direction de nouvelles pistes d’actions évoquées par les salariés.
  • Faire un travail de fond avec les salariés en utilisant la méthode Dragon Dreaming et les outils de créativité.
  • Former la direction et les salariés avec des outils, une formation sur-mesure qui répondra aux besoins de l’objectif à atteindre.

Les résultats que nous constatons, à l’issue de cet accompagnement sont :

  • Un apaisement général, une vision claire et transparente des projets à venir ainsi qu’un sens commun cultivé.
  • Une net amélioration de la communication, de la confiance entre les équipes et surtout avec la direction.

En tant que dirigeant, il est important de clarifier une situation et d’y apporter des solutions rapides et efficaces. Si cette situation de non-adhésion de vos salariés vous parle, Move Z’y peut vous apporter un soutien.

Mon calendrier vous est ouvert : https://calendly.com/nathalie-sintes/30min

 

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L'approche pédagogique

Connaître son cerveau pour mieux apprendre

Dès notre plus jeune âge, nous apprenons. Cela démarre par le développement psycho-moteur, puis l’apprentissage du langage et enfin de la marche jusqu’aux jeux. Le tout-petit est en éveil permanent. Ainsi, les neurones de notre cerveau se connectent et la création de ces connexions se poursuit tout au long de notre vie.

Demandons-nous ce qu’il se passe réellement dans cet organe si complexe qu’est notre cerveau, et surtout comment connaître son cerveau pour mieux apprendre.

Avant d’ouvrir le sujet, je vous propose une lecture issue de recherches scientifiques.

L’image de l’apprenant dans la forêt vierge

J’aime beaucoup cette image de l’apprenant qui avance dans une forêt vierge pour la première fois. Dans le cadre d’une formation, c’est une découverte pour l’apprenant qui doit faire un effort pour se déplacer d’un endroit à l’autre. Plus il va emprunter le même sentier, mieux il va le mémoriser. Moins il va emprunter le même sentier (et donc laisser la végétation prendre ses droits) et aller vers d’autres sentiers, plus il sera confronté au risque de l’oubli.

C’est exactement ce qu’il se passe en termes d’apprentissage. C’est par la répétition que nous assimilons les concepts et informations. Le meilleur exemple est l’apprentissage des savoirs de base à l’école, notamment en classe de CP, le maître ou la maîtresse va faire des séances identiques et plutôt brèves de 15 à 30 minutes, une fois le matin et une fois l’après-midi. Cela va renforcer les connexions ! Elles se feront plus rapidement.

Répétons, répétons, répétons.

Pensons également au sportif ou à l’acteur. Son travail premier est de répéter la même chose – encore et encore – jusqu’à atteindre la perfection. L’entraînement mène au succès.

Le rôle du formateur

Côté formateur, cela est tout aussi riche d’enseignement. En connaissant les mécanismes de l’apprentissage et donc le fonctionnement de son cerveau, il atteindra plus facilement son but.

Prenons le cas d’un apprenant qui persiste dans son erreur car son schéma neuronal est si ancré qu’il est difficile de le modifier.  Par exemple, et nous l’avons tous vécu lors d’un échange entre 2 personnes qui sont en désaccord sur une évidence, la croyance est trop forte pour être modifiée.

Le formateur a alors un double rôle. Dans un premier temps, il proposera à l’apprenant une autre vision du sujet en question. Puis, après validation de ce dernier, le formateur développera son idée en favorisant la répétition par différents biais cognitifs.

Parfois, nous rencontrons des difficultés de compréhension et pouvons nous sentir en situation de faiblesse. Rassurez-vous, il n’y a pas à se sentir mal à l’aise. Nos connexions ne sont pas suffisamment établies  (ça m’arrive encore sur certains sujets ;-)). L’apprentissage répétée permet la compréhension de l’information.

Répétons, innovons, répétons, innovons, répétons.

Les techniques pédagogiques

Chez Move Z’y, nous sommes persuadés que l’apprenant doit être acteur de son apprentissage. Pour plus de détails, je vous invite à lire mon article sur la pédagogie active et le nouveau rôle de l’apprenant dans un contexte professionnel.

Vous l’aurez compris : la répétition est fondamentale dans le processus d’apprentissage. Le vrai secret de notre cerveau est d’apprendre plusieurs fois une même chose. Comme le disait Picasso, la peinture c’est comme le chinois, ça s’apprend. Et comme le dit Move Z’y, connais ton cerveau pour mieux apprendre.

Il est également fondamental d’inciter son cerveau à revoir à des moments différents l’information apprise et à la questionner. Lorsqu’on apprend par exemple un concept ou une théorie, il faut le/la triturer dans tous les sens. L’information est alors mieux digérée et gérée par le cerveau. Chez Move Z’y, nous pratiquons l’évaluation à chaud, et à froid et rien de tel que l’expérimentation et la mise en situation pour marquer les esprits.

Alors, on y va dans cette forêt vierge ?

 

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Les nouveaux réflexes

La nature, un besoin vital et quotidien ?

En ce qui me concerne, j’ai un besoin vital et quotidien de nature – comme si la nature agissait comme un remède. Depuis mes plus lointains souvenirs,  le vivant m’inspire et m’intrigue. J’ai clairement le sentiment que le contact avec la nature favorise le bien-être physique et mental. Cela résonne en vous ?

Commençons par évoquer la relation homme-nature. Si l’on définit la nature, elle peut être double : elle est en nous et à l’extérieur de nous. Cela en fait un mouvement permanent entre soi et l’extérieur. Il y a des interactions fortes qui s’effectuent. Notre besoin de nature s’auto-alimente par notre besoin de se connecter à soi et à l’extérieur de soi. La nature est autant à l’intérieur de nous qu’à l’extérieur. Et le seul moyen de découvrir ces forces est de les écouter.

CQFD : nous avons un besoin vital et quotidien de nature.

Cela va certainement vous faire sourire, mais depuis toute petite, et encore aujourd’hui, je déplace les escargots qui se baladent sur la route par temps de pluie ou réanime des abeilles qui  atterrissent dans un lac… Je me confondais dans la nature, et je crois que je m’y confonds toujours.

Je vous le confie : s’introspecter permet d’en découvrir aussi bien sur soi et que sur les autres. Le métier que je fais n’est pas un hasard et mon souhait le plus profond est finalement d’aller vers la nature, ou plus largement que l’humain recrée ce lien qui tend à se perdre vers la nature.

Et là on arrive à ce qui vous concerne – roulement de tambours 😉 Si vous avez comme moi ce besoin de nature – et je suis quasiment certaine que vous l’éprouvez – je vous invite à assister à une de mes prochaines sessions sur l’intelligence collective ou la gestion de projet en pleine nature – autour du lac par exemple.

Ps: Sur cette photo, c’est le lieu où j’aime me baigner toute l’année (et oui, même en hiver), sous le soleil et les étoiles !

 

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Tout sur tout

Embarquement immédiat vers la formation

Oui oui, c’est à vous, dirigeant, manager ou salarié – que je pose la question. Parce qu’ici, nous sommes dans les starting blocs depuis plusieurs mois et nous sommes prêts à un embarquement immédiat vers la formation Move Z’y. En effet, les projets ne manquent pas et ils sont orientés vers vous et vos enjeux.

On commence par quoi ?

  • Par le fond (pas du trou, hein)

La formation est un art qui se renouvelle sans cesse. Pour cette raison, je me forme sans cesse et sur des sujets avant-gardistes ayant des applications concrètes dans le monde de l’entreprise. Je deviens, en effet, représentante en Haute-Savoie et Savoie de l’Aïkido VerbalTM dont je vous laisse découvrir des 1ers éléments ici : Aïkido VerbalTM Durant la formation, vous allez apprendre à gérer les tensions et les attaques d’autrui. Si ça ce n’est pas une compétence indispensable en entreprise…

D’autres formations et nouveautés sont à venir et s’imaginent avec vous. Elles sont toutes basées sur vos problématiques internes.

  • Puis la forme (olympique bien-sûr, hein)

Le point crucial est d’être en phase avec son métier, ses valeurs et son positionnement. Depuis plusieurs mois, nous effectuons une refonte en interne pour que le papillon sorte de sa chrysalide. Nous sommes en pleine transformation, comme nombreux de nos clients, et cela nous permet de comprendre encore plus – et encore mieux – nos clients. Et j’en viens à la forme qui est l’aboutissement d’un travail sur le fond. Notre site Internet a évolué ces derniers mois. Comme on privilégie toujours l’expérimentation, on vous laisse le découvrir par vous-même (on est fiers de notre page d’accueil).

La communication, la gestion de projet et la transition écologique sont nos sujets. Si l’un de ces sujets vous fait écho, il n’y a qu’une seule chose à faire : composer le numéro Move Z’y pour en discuter. Nous trouverons ensemble des solutions répondant à vos enjeux.

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Les retours d'expérience (de nos clients)

On se sent comment après une formation Move Z’y ?

Vous savez, chez Move Z’y, il y a deux valeurs que l’on cultive et que l’on ne cessera de cultiver : la joie de vivre et l’humour. Donc, pour répondre à la question « on se sent comment après une formation chez Move Z’y? », je dirais qu’on se sent plutôt de mauvaise humeur 😉

Plus sérieusement – parce que nous savons aussi l’être – notre raison d’être est d’enrichir et valoriser les savoir-être et savoir-faire de chacun-e. Demandons-nous dans quel but ? tout simplement pour aller vers des organisations plus responsables et vertueuses.

A travers chacune de nos formations – que ce soit la communication, la gestion de projet ou la transition écologique, nous nous attelons à former, valoriser et développer vos compétences et vos « savoir-être » avec des méthodes pédagogiques et des outils surprenants, décoiffants et uniques ! Il est, par exemple, urgent d’apprendre à communiquer. C’est une condition sinequanone à la réussite et à la durabilité d’une entreprise. En passant à côté de ces notions de collaboration et de communication, l’entreprise passe à côté de salariés impliqués, engagés et bien entendu de son chiffre d’affaires.

Parce que chaque apprenant et chaque société que nous avons pu accompagner porte un regard différent sur l’apport de nos formations, Move Z’y n’est pas en capacité de répondre objectivement à « On se sent comment après une formation? » – si ce n’est du point de vue formateur-rice. Alors là oui, côté formateur-rice, on se sent BIEN et EN JOIE! Avant, pendant et après la formation Move Z’y car nous sommes dans notre élément. Côté participants, le mieux, selon nous, est de s’imprégner de quelques témoignages :

>>>ICI<<<

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L'approche pédagogique

Comment la formation au sein des entreprises se transforme ?

C’est une grande question que l’on va se poser aujourd’hui : comment la formation au sein des entreprises se transforme ? Un constat : le marché de la formation est en pleine mutation. Bon, ce n’est pas tout de le dire. Étayons tout cela.

La formation d’il y a 10 ans – date à laquelle j’ai démarre mon activité en tant que formatrice – n’a plus rien à voir avec celle d’aujourd’hui. Nous étions dans la situation suivante assez banale: une entreprise a un besoin et fait appel à un formateur-ice pour y répondre. Mais ça c’était avant. Maintenant, il y a une pléthore d’offres de formation et ça c’est tant mieux. Cela signifie que les entreprises vont chercher des formations répondant, de façon plus précise, à leurs besoins. Ce rapprochement de l’offre de formation aux besoins des entreprises et des individus est un vrai bénéfice.

Ce que j’observe plus particulièrement est le comportement de l’apprenant. Selon moi, c’est ce lien entre l’apprenant et le formateur-ice qui a été bouleversé – et les mutations technologiques y ont, à mon sens, contribuées. En effet, ayant accès à la théorie, l’apprenant vient en formation pour avoir un apprentissage personnalisé. Fini le formateur qui étouffe l’apprenant avec des supports numériques et papier en quantité astronomique.

Aujourd’hui, j’ai ce sentiment que l’apprenant a un besoin d’autonomie plus fort. Il cherche un guide, une posture plus proche de celle de l’accompagnant voire d’un super facilitateur d’acquisition de connaissances.

Partant de ce constat, je construis mes formations et apports pédagogiques en ce sens. Il n’existe bien-sûr pas une recette mais des quantités de recettes pour mettre en place ce que l’on appelle « la pédagogie active » qui finalement n’est pas si révolutionnaire que ça. Le secret est dévoilé. Associée à d’autres méthodes pédagogiques (un formateur a toujours plus d’un tour dans son sac), la pédagogie active a pour objectif de rendre l’apprenant acteur de ses apprentissages afin qu’il construise ses propres savoirs inspirés de contextes inventés (attention ces contextes sont originaux et amènent un changement de perspective) et réels. En d’autres termes, l’apprenant est au centre du processus d’apprentissage.

On peut se poser légitimement la question: c’est bien que l’apprenant soit au cœur de son dispositif, mais finalement quels en sont les réels bénéfices ?

Et c’est là que ça devient intéressant ! Alors comment la formation au sein des entreprises se transforme ? 😉

La pédagogie active favorise les apprentissages durables plutôt que de solliciter la mémoire à court terme.

Bingo !

L’apprenant s’engage dans un processus de créativité, de collaboration et de résolution de cas concrets. Ne serait-ce pas des compétences primées en entreprise ?

Re-bingo !

Soulignons également la capacité à apprendre de façon autonome et tout au long de sa vie. Nous sommes dans des sociétés du savoir dans laquelle l’information et sa compréhension en sont capitales. J’ai à cœur, à travers Move Z’y, d’utiliser les jeux de rôles ou de coopération par exemple, car l’apprenant prend – enfin – plaisir à apprendre et comprendre.

Re-re Bingo ou Re-bingo-bingo ! Comme vous préférez !

L’apprenant et son entreprise, voire son écosystème, sont alors dans un modèle gagnant. En formation, je vois clairement les retours – côté apprenant et côté entreprise. Les participants se font davantage confiance et mobilisent des compétences clefs, notamment autour de la résolution de problèmes et la prise de décision. Les bénéfices sont alors réels et l’entreprise en voit les applications concrètes et quotidiennes.

La pédagogie active dans votre entreprise, ça vous dit ?

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Les nouveaux réflexes

L’individu, le collectif et l’environnement

« L’ individu, le collectif et l’environnement » est un triptyque de plus en plus utilisé. Aujourd’hui, on va ensemble – si vous le voulez bien-sûr – se demander pourquoi.

Quoi de plus porteur qu’une démarche systémique vertueuse qui s’auto alimente ? Et bien c’est pour moi un challenge et une priorité à proposer par le biais des formations Move Z’y.

  • L’individu construit le collectif.
  • Le collectif influence et modifie l’environnement.
  • Et l’environnement accueille et construit l’individu.
Le cercle vertueux, vous connaissez ?

Nous pouvons définir ici l’environnement comme à la fois une entreprise, une atmosphère, un territoire ou la nature – tout dépend du niveau auquel nous nous plaçons.
Comment prendre soin des trois en même temps dans un projet ?

Laissez-moi vous expliquer un peu

En tant que formatrice, je suis confrontée à des apprenants (que l’on peut aussi appeler stagiaire, personnel en formation) qui me dévoilent leur vécu professionnel. Parfois des situations drôles, et parfois des situations beaucoup moins drôles en lien avec des difficultés de management ou de communication. C’est principalement ce qui est remonté par ces apprenants. C’est comme s’il y avait, pour certains, une sorte d’incompréhension insurmontable au sein de leur entreprise.

Et c’est là précisément que j’interviens. Sans prétention aucune, dans le cadre donné par l’entreprise, j’ouvre le champ des possibles et j’observe ainsi que l’individu prend conscience de sa responsabilité et sa capacité à prendre de nouvelles directions. C’est une démarche que j’affectionne tout particulièrement : ce moment charnière où les yeux brillent et les cœurs s’ouvrent. Les apprenants se rendent compte qu’ils ont beaucoup – voire toutes – les cartes en main. Ils s’embarquent eux-mêmes vers de nouveaux horizons bienveillants et porteurs de sens. Là c’est LE moment décisif où nous commençons à cheminer : l’apprenant est prêt à construire et qui plus est, ensemble.

Alors, la prise de conscience individuelle amène à créer une démarche commune et partagée au sein de l’entreprise – avec l’implication sans faille de l’entreprise. Bien-sûr, il y a la théorie et la pratique. Avant que cela ne soit aussi fluide, il y a des étapes à respecter. Cela fera l’objet d’un prochain article d’ailleurs. Je voulais davantage vous partager la notion qui amène l’individu puis le collectif à aller vers l’environnement. Le rapport individuel/collectif amène à un projet d’organisation et peut aller jusqu’à un projet environnemental.

Allez, je vous explique me réflexion

Vous connaissez le principe : je fais une action positive, mon voisin voit cette action et va la recopier. C’est aussi le 1 + 1 = 3. Et bien sur le plan environnemental, c’est la même chose. Je réduis mon impact environnemental à mon échelle, mon collègue aussi, l’équipe aussi, la Business Unit (BU) aussi, le site aussi, le groupe aussi ! (« et Félicie évidemment » ; ) et on arrive tous ensemble à prendre conscience de l’impact écologique dans la sphère professionnelle. Et cela peut commencer par des choses assez simples telles que : je fais attention à ma consommation d’impression de documents (et oui, les mails n’ont pas besoin d’être imprimés…)

A travers Move Z’y, j’ai le plaisir de faire émerger les compétences et talents individuels pour les mettre au service d’eux-mêmes (déclencher une confiance en soi, une envie d’évolution et de bien-être), des collègues, de l’entreprise et finalement de l’environnement. De plus en plus d’entreprises se lancent dans une démarche de performance énergétique et de réduction de l’impact environnemental. Pour que cette transition environnementale prenne au sein de l’organisation et soit l’affaire de tous, il est nécessaire de créer un engouement autour d’un projet – soutenu par le dirigeant et managers. Le renforcement du rapport individu/collectif accompagné de formation permet ainsi à une entreprise de mettre en place son projet de transition environnementale. On en cite quelques uns : recourir aux énergies vertes, agir sur la consommation d’électricité (chez soi, on n’est pas à Versailles alors pourquoi on le serait en entreprise ? ;), mettre en place des écogestes.

Même si la vie d’une entreprise est semée d’embuches, il est possible de concilier l’individu, le collectif et l’environnement pour agir dans une logique de responsabilité sociétale.